This is the end…

Ma love-story avec WordPress se termine. Dorénavant pour me lire et retrouver l’intégral de ce blog (oui, oui même les vieux trucs dont vous vous foutez éperdument) c’est sur mogadishow.com.

Et oui, I upgrade myself

Changez votre abonnement RSS, vos habitudes et parlez en à vos amis !

N’hésitez pas à me faire part de vos remarques et un grand grand merci à Fab’ pour son aide et sa patience !
Peace up, A-Town down

A plus !

Poster un commentaire

Classé dans Cinéma

Black Kitty

Comme une fille qui a ses ragnagnas, ça fait plus de 24 heures que je suis de mauvaise humeur. Vous savez pourquoi ? A cause d’internet. Le web et les moyens de communication virtuels commencent à me gonfler.

Objectivement, une fois que j’ai fait un tour sur le wordpress de Moga et que j’ai consulté mes RSS, j’ai plus grand chose à branler sur la toile. Seulement voilà, de la même façon que je suis resté jusqu’à la fin du très décevant concert de Kanye West au Main Square Festival de peur de rater un guest falbistouflant genre Jay-Z, bah je squattes internet.

POUR LE RESTE DE L’ARTICLE, C’EST ICI QUE CA SE PASSE MAINTENANT. A tout de suite 😉

Poster un commentaire

Classé dans Internet / Web 2.0

Railway to Hell, post-scriptum

Dans ma dernière note sur le métro, y’a deux catégories d’usagers dont je n’avais pas parlé. On va réparer cette erreur de suite parce que figurez-vous que l’exhaustivité est une de mes névroses. Lire la suite

4 Commentaires

Classé dans Me, myself & aïe !

Go ahead, make me laugh !

Dans la vie, il y a un tas de petites bricoles qui me déplaisent : quand il y a plus de tomate que de farce dans les tomates-farcies, être harponné par les vendeurs dans les magasins, dire mon prénom ou encore qu’on fasse la lecture de bidules que j’ai écrit en ma présence. Ça, ça me met super mal à l’aise.

Jeter sa création sur le web, loin de la primo-réaction du public, et le faire live and direct à la merci des bides, sont deux choses aussi distinctes que de voir son fils de 7 ans se faire démonter dans une compétition de kickboxing et de rester à la maison bien sagement, dans l’attente d’un coup de fil post-combat.

Partant de ce postulat, vous comprendrez l’admiration et le respect que j’ai pour ceux et celles qui se lancent sans filets face à un vrai public.
C’est encore plus vrai quand il s’agit d’un inconnu au bataillon. Parce que pour un Gad Elmaleh par exemple, la célébrité biaise le truc. Il lui suffit de dire « couscous boulettes » avec un accent de là-bas pour décrocher une volée de rires.

Quand personne ne sait qui tu es, c’est une autre paire de pantoufles. La facilité passe beaucoup moins bien.
Mettons-nous en situation. Tu t’appelles Nora Hamzawi, tu joues ton premier one-woman show dans une salle grande comme l’estomac de Massimo Gargia et te voilà devant une trentaine de quidams qui semblent dire « bah vas-y ma grande, fais nous marrer maintenant qu’on est là… ».

En outre, alors que tu peux avoir un eye-contact avec chaque membre de ton public (qui en fait n’est même pas le tien puisque la majorité est venue pour cause de gratuité), il t’envoie chier des ronds de chapeaux quand tu le sollicites :

  • « Y’a des garçons dans la salle ? » Pas de réponse alors qu’on était assez de gars pour faire une équipe de basket (sans les remplaçants).

Pas la peine d’être le king de l’empathie pour capter combien il faut être courageux pour plonger tête la première dans le grand bain des one-man show, alors qu’il faudra certainement passer par les salles XS et composer avec les applaudissements polis.

Comme on n’est pas dans un de ces lycées rosbeefs où on file une gratification à des petits cons parce qu’ils vont en cours, je vais pas fourguer une image à Nora pour son courage.

D’autant plus qu’elle n’a pas besoin de cette charité puisque je l’ai trouvée plutôt funny. Selon certaines mauvaises langues, j’étais même le seul à rire. Lire la suite

2 Commentaires

Classé dans Culture

Caught In the loop

Les lecteurs de la première heure le savent, il fut un temps où il y avait ici plus de revues ciné que de coups fourrés au Parti Socialiste. Mais j’ai décidé d’arrêter de faire de Mogadishow une arrière-boutique label rouge d’Allociné quand j’ai compris qu’il n’y avait aucun intérêt à vous causer de films de merde ou de films moyens. Même si tu le fais avec talent, c’est comme si le meilleur stalker du monde suivait un exhibitionniste ou qu’un sniper de premier plan dessoudait Benoit XVI au petit coin.
Voilà pourquoi l’appareil du parti a décrété qu’à l’avenir, je ne vous causerai que de bobines qui valent la peine d’être lues.

Cette semaine, j’ai été plutôt gâté puisque ce sont deux films de top ten list que j’ai vu.

Commençons par In the loop, le deuxième viendra plus tard dans la journée. Quand vous lirez ces lignes, il restera certainement autant de copies de In the loop dans l’Hexagone que de synagogues au Pakistan. Dommage parce que ce film anglais sur les coulisses d’une guerre qui se prépare est un vrai petit bijou, une des comédies de l’année. Lire la suite

2 Commentaires

Classé dans Cinéma, Critique